Pourquoi assister à un salon est bon pour votre image d’entreprise ?

Participer à un salon

Assister à un salon représente une grande opportunité pour une entreprise. Il est possible d’y trouver de nouveaux clients. Participer à ce genre d’événement ne nécessite pas un important investissement alors qu’il peut beaucoup rapporter, car non seulement la société peut avoir plus de clients potentiels français et étrangers, mais elle y gagne également en image.

Trouver de nouveaux clients et développer le réseau de l’entreprise

Les avantages procurés par les salons professionnels sont nombreux, entre autres ils offrent plusieurs opportunités à l’entreprise. C’est pendant ces évènements que l’on voit se concentrer l’offre et la demande. L’entreprise a ainsi l’occasion de trouver beaucoup de fournisseurs et de clients potentiels, en peu de temps. Les événements professionnels comme le salon SME vous permettront d’accentuer votre liste de contacts. Cela implique que vous aurez plus de commandes et de contrats ce qui est un grand atout pour la société. Ce serait une incroyable réussite, car seulement en quelques jours vous obtiendrez le double de votre profit que vous n’aurez pas en restant dans vos locaux quotidiens.

Augmenter la notoriété et optimiser l’image de l’entreprise

Pour soigner son image professionnelle, il est essentiel de faire des expositions aux salons. De cette façon l’entreprise pourra marquer sa présence sur le marché, transmettre des messages et gagner en matière de visibilité. En effet, le salon est un moyen incontournable pour l’entreprise pour développer sa communication institutionnelle. Vous pouvez profiter de cet événement pour faire connaitre un nouveau produit ou une innovation, et présenter ses atouts. Ainsi, n’hésitez pas à poser des banderoles publicitaires qui afficheront les particularités de votre entreprise.

Participer à un salon pour améliorer la force de vente

Le fait de participer à un salon permet à l’entreprise d’avoir une meilleure place sur le marché, de stimuler les ventes et d’être plus proche des clients. Ainsi, on peut dire que les salons sont des appuis très importants pour la force de vente, ils la motivent. Aussi, si vous y envoyez plus de personnels, vous optimiserez les relations professionnelles et personnelles de vos employés. Cela leur permet de s’habituer à travailler en équipe et ils auront un sentiment d’appartenance à l’entreprise.

Pour avoir une longueur d’avance sur les concurrents

Un salon professionnel est comme un lieu de rencontres et d’échanges. Notez bien que si vous offrez quelque chose de performant, les autres en feront plus. Donc lors de l’événement, vous avez l’opportunité de découvrir les dernières tendances, et aussi connaitre les futures. Vous aurez également l’occasion de rencontrer vos concurrents et d’appréhender leurs offres qui vous permettront d’élaborer votre stratégie. C’est le moment où vous pouvez obtenir de nouvelles informations sur votre marché, savoir les missions des gros acteurs de votre secteur.

Contrôler l’e-réputation

Avoir une bonne réputation pour une entreprise est un grand atout, avec l’internet la communication sera beaucoup plus fluide. L’e-réputation reflète l’image de la société et celle-ci peut être positive ou négative. Ce serait très grave pour la situation de l’entreprise d’avoir une mauvaise réputation, par contre une bonne image boostera les ventes. Il faut donc bien surveiller son e-réputation, et le meilleur moyen de le faire c’est d’assister un salon où les acteurs de votre secteur seront réunis. Ils y parleront de ce qu’ils pensent de votre réputation en ligne, alors soyez un peu curieux !

Comment profiter du cumul emploi-retraite ?

Comment profiter du cumul emploi-retraite ?

Vous allez bientôt partir à la retraite et vous redoutez de rester à la maison, mais aussi de ne pas avoir assez de revenus pour subvenir à vos besoins et ceux de votre famille ? Sachez que même retraité, vous avez droit à une activité professionnelle, qui vous permettra de toucher un salaire en plus de votre retraite. Ce dispositif, appelé cumul emploi-retraite, est soumis à des conditions strictes et possède certaines limites.

Cumul emploi-retraite intégral ou partiel ?

Si vous souhaitez travailler et percevoir en même temps votre retraite, vous devez répondre à certains critères. D’une part, vous devez avoir atteint l’âge légal de départ en retraite, bénéficier d’une retraite à taux plein et avoir liquidé l’ensemble de vos retraites personnelles auprès de tous les régimes de base et complémentaires. Veillez à vous informer sur votre âge minimum de départ en fonction de votre année de naissance.

Si vous ne répondez pas aux précédentes conditions, vous pouvez aspirer à obtenir un cumul partiel des revenus. Dans ce cas, le montant réuni de vos revenus professionnels ainsi que vos pensions de retraite ne devra pas excéder un plafond mensuel. Celui-ci ne devra pas dépasser la moyenne des trois derniers salaires perçus avant le départ en retraite, soit 2 397,55 € correspondant à 160 % du SMIC. Le montant le plus élevé sera considéré comme le plafond de revenus.

Si vous dépassez ce plafond, vous risquez d’interrompre le versement d’une partie de votre pension de retraite. Cette réduction est égale au montant de dépassement du plafond de revenus.

cumul emploi retraite

Autres réglementations du cumul emploi-retraite

Ce dispositif est possible pour tous les retraités étant soumis au régime général de la sécurité sociale et ayant déjà mis fin à leurs activités professionnelles. Vous pouvez ainsi reprendre votre ancien métier ou vous lancer dans un nouveau domaine.

Trouver un emploi quand on est sénior est devenu difficile, de ce fait, vous avez la possibilité de continuer à travailler pour votre dernier employeur. Dans ce cas, sachez que vous devrez attendre 6 mois avant de percevoir votre retraite dans le cadre d’un cumul partiel des revenus d’un emploi et de vos retraites. Vous avez également la liberté de commencer tout de suite votre nouveau travail et percevoir votre retraite en même temps.

Certains types d’emplois ne vous demandent pas de remplir les principales conditions de cumul emploi-retraite. Il s’agit des métiers artistiques, scientifiques, des métiers d’hébergement ou des activités professionnelles à l’étranger.

Les démarches pour reprendre une activité professionnelle en étant senior

Vous devez en premier lieu informer votre caisse de retraite que vous avez commencé à travailler dès le mois qui suit la reprise d’activité. Puis, vous devez leur donner le nom et l’adresse de votre nouvel employeur ainsi que la date de début de reprise. Le montant du salaire et le régime de sécurité sociale auquel vous êtes affilié devront aussi être précisés.

Vous devrez également transmettre à votre caisse de retraite un bulletin de paie ou un justificatif de revenus perçu pour les non-salariés. N’oubliez pas non plus de leur envoyer une attestation de cessation d’activité.

Souvenez-vous que si vous reprenez votre dernier travail, sauf accord avec l’entreprise ou suite à une convention collective, vous ne conserverez pas l’ancienneté cumulée dans la société.

Quel statut choisir quand on veut créer son entreprise?

Quel statut choisir quand on veut créer son entreprise?

Parmi les 6 étapes pour créer son entreprise, le choix du statut juridique est la plus déterminante. Elle précède notamment son enregistrement et son immatriculation auprès du registre du commerce. En effet, le statut juridique caractérise les formalités de déclaration de l’entreprise ainsi que sa situation du point de vue fiscal, social et administratif. Voici quelques précisions sur les statuts juridiques couramment utilisés lorsqu’on crée une entreprise.

La Société à Responsabilité Limitée (SARL)

Le SARL est sans doute la forme de société la plus utilisée par les entrepreneurs car elle s’adapte à la plupart des projets, que ce soit dans l’artisanat, le commerce, l’industrie ou la profession libérale.

Du point de vue juridique, le SARL lie au moins 2 personnes morales ou physiques dont les responsabilités sont évaluées par rapport à leurs apports dans le capital. Les apports peuvent être numéraires ou en nature, mais doivent au moins couvrir les premiers investissements. Du point de vue fiscal, l’impôt sur le revenu (IR) est possible pour les 5 premiers exercices, mais au-delà, le SARL est sous le régime des impôts sur les sociétés (IS).

Le statut d’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL)

Aussi dénommée SARL unipersonnelle, l’EURL conserve les spécificités d’un SARL à la différence que l’associé est une unique personne. Le capital social est alors librement décidé et les biens personnels de l’associé sont à l’abri si l’entreprise fait face à des difficultés car la perte se limite à l’investissement de départ dans ce capital social, sauf en cas de faute de gestion. Ce statut est idéal pour un créateur d’entreprise en portage salarial.

En termes de fiscalité, l’imposition d’un EURL se fait sur le revenu (IR). Il y a cependant possibilité d’opter pour un IS avec l’imposition des bénéfices.

La Société Anonyme (SA)

En somme, c’est une société de capitaux qui exige au moins deux actionnaires (selon l’ordonnance du 10 septembre 2015) et sept pour une société cotée. La responsabilité de ces actionnaires dépend des capitaux qu’ils ont investis dans la société, contrairement à leur part de bénéfice qui peut être fixé dans le statut.

Le contrôle de la gestion de l’entreprise repose sur un conseil d’administration qui élit parmi ses membres un président et qui procède également à la nomination d’un directeur général. La société peut aussi être dirigée par un conseil de surveillance et un directoire selon son organisation.

Du point de vue fiscalité, la Société Anonyme est soumise à l’impôt sur les sociétés (IS) et sous certaines conditions à l’impôt sur le revenu (IR). A noter que la SA peut prendre la forme de SAS (Société par action simplifiée) ou de SASU, l’équivalent d’un SAS à un seul associé.

Le statut de Société en Nom Collectif (SNC)

Dans cette forme juridique, les associés possèdent la qualité de commerçants et sont conjointement et indéfiniment responsables en cas de dettes de la société. Le capital social, défini en parts, est fixé dans les statuts et peut être constitué d’apports numéraires, en nature ou en industrie. La répartition des bénéfices aux associés est fixée dans le statut indépendamment du montant de leurs apports.

Toute société ou entreprise en statut de SNC est soumise à l’impôt sur le revenu (IR), mais peut également opter pour l’imposition des bénéfices au titre d’impôt sur les sociétés.

Comment devenir apiculteur ?

Comment devenir apiculteur ?

Bien que beaucoup d’amateurs s’intéressent à cette activité, être apiculteur est bien un métier. Le monde de l’apiculture intéresse de plus en plus de personnes. Pour devenir apiculteur, vous pouvez débuter seul. Mais il est conseillé de suivre des stages de formation pour bien débuter dans le domaine. Cela vous permettra de trouver des réponses aux diverses questions que vous vous posez sûrement. Mais pour servir d’avant-goût, voici déjà quelques informations intéressantes.

apiculteur

Débuter à l’aide d’une formation basique

Pour devenir apiculteur et adopter des abeilles, ce n’est pas comme adopter un chien ou un chat. Il faut doublement vous y préparer. D’où l’importance de l’inscription à un stage de formation. Dans ces stages, les grands sujets traités sont en général l’origine de la naissance du projet, l’investissement nécessaire pour l’aboutissement du projet, la préparation du lieu idéal. Il faut également parler des démarches d’achat des premiers essaims et de la première ruche. Et finalement l’épreuve de la patience. Vous pouvez trouver des formations partout en France.

Savoir cerner l’origine de la motivation

Avant de décider de passer de la catégorie apiculteur amateur à apiculteur professionnel, il faut une très bonne motivation. Pour devenir apiculteur, il ne suffit pas d’être touché par les émissions de télévision qui parle de la disparition des abeilles. Il en faut plus. Si la mission de sauvetage est votre seule motivation, vous abandonnerez sûrement aux premières difficultés. Pour aboutir à votre projet, il faut avant tout être ou vouloir être en harmonie avec la nature et respecter par la même occasion la nature et l’environnement.

Être un bon apiculteur c’est vouloir s’investir

S’occuper d’une colonie d’abeilles nécessite beaucoup d’investissement en temps et en argent. Si vous n’êtes pas en mesure de répondre à ces critères d’exigences, ne gaspillez pas le peu d’argent que vous allez investir. Ou alors, optez pour une ruche écologique.

La ruche écologique est créée dans un tronc de châtaignier qui est taillé sur mesure. Elle est préparée spécialement pour recevoir un essaim d’abeilles noires qui est une abeille endémique. Cette ruche spéciale permettra alors de préserver le côté naturel. Cette méthode vous permettra aussi de récolter un peu de miel.

Savoir choisir les bons matériels

Un apiculteur doit avant tout se munir de la bonne tenue de travail. Pour faire ce travail, il faut vous protéger des humeurs changeantes des abeilles. Il y a tout d’abord le célèbre chapeau doté d’une maille claire afin de protéger le visage. C’est la violette. Cet équipement est plus conseillé question confort que le fameux scaphandrier dans lequel on a du mal à se mouvoir. Mais il y a aussi les nouveaux blousons pros disponibles dans les boutiques d’apiculture.

Savoir choisir l’emplacement de votre future ruche

Avoir un jardin ou un terrain pour disposer votre ruche est indispensable. Il est important que cet emplacement offre une bonne exposition Est ou Sud-Est. Les terrains humides ou à proximité d’étangs ou de rivière sont à bannir. Opter pour un emplacement non venteux.