Comment devenir un organisme de formation agrée ?

Comment devenir un organisme de formation agrée ?

De nos jours, les organismes de formation professionnelle sont de plus en plus sollicités par des personnes ou des structures qui souhaitent avoir des certifications. Pour devenir organisme de formation professionnelle, voici comment faire.

Créer votre entreprise

Tout d’abord, vous devez mettre sur pied votre entreprise propre ou une société unipersonnelle dans le cas où vous êtes l’associé unique. Avec une entreprise individuelle, vous pouvez choisir le modèle de la micro-entreprise avec un système d’auto-entrepreneuriat. Si vous préférez une société unipersonnelle, vous avez le choix entre la création d’une SASU (Entreprise par Action Simplifiée Unipersonnelle) ou d’une EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée).

Faire un dépôt de déclaration d’activité auprès de la Direccte (SRC) pour l’obtention d’un numéro de formateur

Après la création de votre structure, vous devez par la suite faire un dépôt de déclaration d’activité à la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi). Cette déclaration est indispensable pour l’obtention de votre numéro de formateur, encore appelé numéro d’activité. Cela doit être accomplie 12 semaines après la signature du premier contrat de formation.

Le dossier de déclaration comprend les pièces suivantes :

  • Un formulaire Cerfa de la déclaration d’activité n°10782*05 dûment remplie et signée ;
  • Une copie justificative de votre numéro SIREN (extrait KBIS par exemple) ;
  • Un extrait de casier judiciaire (bulletin n°3) du propriétaire de l’entreprise ou la société ;
  • Une copie signée de votre premier contrat ou convention de formation ;
  • Le programme de formation ;
  • Les pièces d’identité et les CV des formateurs exerçant au sein de votre organisme. Par ailleurs, vous êtes également tenus d’indiquer le lien contractuel qui lie ces formateurs à votre organisme.

Une fois le dépôt effectué, vous êtes désormais autorisé à exercer votre activité de formateur. La Dirrecte dispose d’un délai d’un mois pour vous donner un récépissé avec votre numéro d’enregistrement. Ce numéro doit absolument paraître sur tous vos documents tels que le contrat de formation, la convention de formation, les bons de commande, les devis, les factures, etc.

Vous pouvez ensuite solliciter une exonération de TVA pour vos activités de formation. Pour ce faire, vous devez faire parvenir le formulaire Cerfa n°10219*16/3511-SD à la Direccte dans laquelle votre organisme de formation est enregistrée. Au bout de 3 mois, vous devez avoir une suite à votre demande. L’exonération de TVA peut être appliquée dès le jour où vous faites la demande et elle n’est pas rétroactive.

Obtenir un référencement Datadock et une certification Qualiopi

Pour profiter des fonds mutualisés, l’organisme de formation doit disposer d’un référencement Datadock. Jusqu’au 31 décembre 2021, cela sera suffisant. Mais, à partir du 1er janvier 2022, les organismes de formation devront en plus présenter une certification Qualiopi. Pour conclure, la création d’un organisme de formation professionnelle agrée est soumise à une démarche bien définie. Après la création de votre entreprise, sollicitez un numéro d’enregistrement, obtenez un référencement Datadock et une certification Qualiopi pour être conforme. Ainsi, vous pourrez mener vos activités en toute légalité et sans contraintes.

À quoi sert un filet de protection ?

À quoi sert un filet de protection ?

La mise en place de certaines dispositions de protection est indispensable lors de la réalisation d’un chantier de construction. En effet, l’installation d’un filet de protection est primordiale pour la sécurité des ouvriers, des passants, du matériel, et même du bâtiment où se déroulent les travaux. Pour mieux comprendre la nécessité de cet objet, dans cet article, nous allons essayer de cerner sa nature, son rôle et ses particularités.

C’est quoi un filet de protection ?

Un filet de protection est un équipement pratique et essentiel pour garantir la sécurité sur un chantier. Il est question en effet d’une forme de barrière flexible, qui sert à couvrir les palissades grillagées mouvantes ou les échafaudages. Il faut noter que la conception d’un filet de protection intègre le polypropylène et le polyamide. Son installation sur un chantier doit être faite par des spécialistes, comme par exemple les fabricants de filets et de cordages de Huck Occitania.

Le rôle d’un filet de protection

Le filet de protection est indispensable dans un chantier : pour les travaux effectués à une hauteur comprise entre 3 et 7,5 m, le Code du travail exige l’utilisation d’un matériel de sécurité adéquat notamment un filet de protection.

Il sert de protection contre les chutes : son objectif majeur est de prévenir les chutes des ouvriers tout comme celles de matériaux et des outils, surtout si le chantier se trouve sur la voie publique. Le filet de protection doit être conforme aux normes EN 1263- type U ou EN 1263-type S.

Il permet de camoufler les travaux : durant l’évolution des travaux, il est très courant de voir les bâtiments en chantier recouverts pour être dévoilé au public à la fin.

Les types de filets de protection

Ils sont disponibles sous plusieurs formes et le modèle choisi dépend de l’utilisation qui sera faite. On distingue ainsi :

  • Le filet de protection de chantier qui sert de garde-corps ;
  • Le filet antichute pour la sécurité des ouvriers ;
  • Le filet de protection particulièrement réservé à l’amiante. Il est très souvent doublé d’un film impénétrable et garantit également la sécurité des ouvriers.
  • Le filet avec pare-gravât qui empêche la chute de matériaux et des outils.

Les caractéristiques d’un filet de protection ?

Elles sont diverses et particulières grâce à leurs conceptions et l’usage défini pour chaque modèle :

  • Le filet de protection imperméable : c’est un équipement hydrophile qui est à l’épreuve de la pluie. En d’autres termes, lorsque les travaux se déroulent en saisons troubles, ce type de filet est parfait, car il ne se trempe pas et ne s’alourdit pas sous l’effet de l’humidité. Ainsi, il demeure efficace et garde son rôle de protection, peu importe le temps qu’il fait.
  • Le filet à double protection : il est conçu pour tenir face aux intempéries et contre la chaleur. Ce modèle de filet de protection est assez résistant aux UV qui pourraient avec le temps, l’abîmer.

En conclusion, le filet de protection est un équipement très utile dans un chantier aussi bien pour les personnes qui y travaillent que pour les passants. La variété de modèles disponibles permet également de distinguer les différents usages en fonction de vos besoins.

Comment créer son entreprise

Comment créer son entreprise

Beaucoup choisissent actuellement la nouvelle formule : créer son entreprise et ce, pour plusieurs raisons. Toutefois, ce n’est pas une opération anodine qu’il est conseillé de se préparer pour mieux la réussir. Comme ce n’est pas une décision à prendre à la légère, il y a des astuces pour s’y lancer, il y a également des supports et des dispositifs pour vous aider à mener à bien votre projet et il y a différentes options pour faire votre choix.

Créer son entreprise, les premières « choses » à faire

Quand on veut créer son entreprise, il y a des dispositions à prendre pour optimiser le projet. Ainsi, vous devez d’abord faire une petite liste de vos atouts et de vos faiblesses pour évaluer vos compétences, cela définit ainsi l’envergure de votre future société. Vous devez ensuite estimer vos moyens financiers, car la création d’une entreprise requiert, en général, un certain fond, qui constituera le capital et financera les équipements. Selon votre projet et le statut que vous voulez adopter, vous pourrez ainsi trouver le ou les meilleurs associés, ceux qui partageront avec vous les apports, les activités et les bénéfices. Vous pouvez alors commencer par parler de votre projet autour de vous, avec des personnes de confiance.

Il serait mieux de se faire accompagner dans votre projet, des entités et organismes sont là pour ça, entre autres les Chambres de Commerce et d’Industrie ou CCI et les Chambres de Métiers et d’Artisanat. Cela vous permet de côtoyer des entrepreneurs et bénéficier ainsi de leur tutorat. Des concours de jeunes créateurs sont aussi de belles occasions pour vous lancer afin de trouver les meilleures opportunités pour être mieux repéré. Si vous rencontrez des difficultés, persévérez si vous pensez que c’est votre voie, vous devez croire en votre projet et vous entourer de personnes positives qui vous supporteront dans votre projet. Dans le cas où vous sentez que cela ne peut pas aboutir, il est toujours temps de répartir à zéro et de changer de voie.

Les différents statuts pour en choisir un

Choisir son statut est l’une des priorités. Vous devez tout savoir sur le statut de travailleur indépendant avant de vous lancer. Il y a plusieurs possibilités de se convertir  en travailleur indépendant. Pour constituer une société, il y a plusieurs statuts juridiques qui sont accessibles et détermineraient les activités et l’envergure de la société. La Société à Responsabilité Limitée (SARL) est la forme la plus simple et la plus répandue. Elle est compatible à tous types de projets et à tous les secteurs. La SARL est une société qui requiert l’association d’au moins deux personnes physiques et morales.

Le statut d’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) est une forme de SARL mais unipersonnelle. La personne décide seule le capital social de la société. Il y a également la Société Anonyme (SA) qui est en fait une société nécessitant au moins deux actionnaires dont la responsabilité de chacun sera définie selon leur apport dans la création de la société.

Le statut de Société en Nom Collectif (SNC) est la forme juridique avec laquelle les associés seront tous responsables et se constituent tous comme commerçants des produits et services. Avec un capital social défini en part, elle est disposée en apports numéraires pouvant prendre la forme industrielle ou en nature. Vous pouvez également vous inspirer des idées avancées par quelques entrepreneurs qui sont réalisables comme entreprises à domicile.

Des dispositifs numériques pour vous aider

Les conseils cités ci-dessus permettent de créer son entreprise dans les règles de l’art. Mais il faudra également mettre sur pied les meilleurs dispositifs qui optimiseront votre projet. Plusieurs approches sont d’une grande aide pour gagner en temps, en clientèle et en bénéfices. Le numérique et le digital sont actuellement très prisés pour faciliter les communications et les échanges. Il y a alors des logiciels pour gérer son entreprise qui sont compatibles à tous les supports y compris les mobiles : ordinateur, tablette et surtout smartphones.

Des logiciels de gestion de mails sont plus qu’indispensables pour être en communication avec vos fournisseurs et avec vos clients. Très utilisés par les freelances et par les responsables des entreprises, vous devez pourvoir vos outils de travail de ces dispositifs. Microsoft Outlook est parmi les plus sollicités dans la gestion des mails et est également utilisé comme agenda pour mieux gérer vos plans et votre temps.

Des logiciels de gestion de tâches sont aussi incontournables pour mieux s’organiser et pour organiser vos missions. Même si les papiers et les agendas physiques sont toujours d’actualité, il est toujours plus judicieux de faire usage de logiciels et applications numériques. Ainsi, Evernote est le logiciel le plus utilisé, comme il est libre et gratuit. Mais c’est aussi un logiciel efficace et rapide pour optimiser vos « dispatching ». Le logiciel Trello est aussi une bonne référence en offrant un tableau pour pouvoir trier les tâches et avoir un suivi instantané de ces tâches en étant toujours au courant de leurs évolutions.

Pour mettre vos données à l’abri

Des logiciels de stockage en ligne sont impératifs pour sauvegarder des données de la société. Vos fichiers de travail peuvent ainsi être « archivés » dedans, et être accessibles à tout moment, même via une autre machine. Ce système, également appelé « Cloud », offre le plus de fiabilité. Le plus utilisé est le « Google Drive » qui propose une utilisation très flexible et réactive. Pour les abonnés d’Outlook et Hotmail, ils pourront stocker leurs données sur One Drive. Le Dropbox est une plateforme très performante quand il s’agit de sauvegarder de tâches finies. Ce sont quelques logiciels indispensables, voire indissociables des entreprises afin d’optimiser de bons rendements et d’être plus rapides.

Élever des abeilles : comment en faire son métier ?

Élever des abeilles

Vous êtes désormais décidé à faire un métier passionnant celui d’élever des abeilles. C’est une excellente idée puisque vous contribuez à la lutte contre la disparition de ces insectes pollinisateurs. En sachant également les bienfaits du pollen, vous envisagez de vous lancer dans l’apiculture, mais cela requiert un savoir-faire spécifique et vous devez aussi savoir gérer un rucher. Voici quelques conseils utiles pour pouvoir faire de l’élevage d’abeilles son métier et pour obtenir plus de compétences.

Suivre des formations en apiculture

Avant de vous lancer dans ce métier, il est important de connaitre les bases de l’apiculture. Avec une formation apiculture, vous pourrez acquérir des connaissances appropriées pour l’entretien de votre rucher, et obtenir ainsi un revenu correct. Donc, pour devenir un professionnel dans ce domaine et pour bien protéger les abeilles, rendez-vous auprès d’un centre de formation en apiculture qui vous apprendra à maitriser ce nouveau travail en vous donnant les différentes techniques pour élever des abeilles. Ces méthodes sont essentielles à l’équilibre écologique, car elles assurent la survie de ces insectes alors ne négligez pas votre formation ainsi que le matériel nécessaire tel qu’un extracteur de miel et une combinaison !

Se documenter pour bien élever des abeilles

Comme vous êtes un débutant dans l’apiculture, il va falloir vous documenter. Il existe de nombreux ouvrages qui parlent des abeilles et des techniques qui pourront aider les amateurs à faire de l’élevage d’abeilles son métier, tel que le livre « Apiculture pour les nuls » d’Henri Clément. C’est le meilleur moyen d’apprendre la partie théorique de l’apiculture et les aspects particuliers d’un rucher.

Effectuer des stages pratiques

Avoir beaucoup de connaissances n’est pas suffisant. Il faut une certaine expérience pour pouvoir travailler dans l’apiculture, vous pouvez commencer à effectuer des stages auprès d’une vraie exploitation ou dans des ruchers-écoles. Demandez des renseignements auprès des bureaux de la commune de votre ville. Votre entourage pourra également vous aider à trouver ces stages.

Si vous connaissez un apiculteur, vous aurez toutes les chances d’avoir tous les renseignements dont vous aurez besoin et même l’opportunité de collaborer avec lui. Il existe aussi de nombreuses bonnes écoles qui disposent de site web où vous pouvez accéder facilement. Notez bien que vous pourrez bénéficier d’une formation gratuite selon le dirigeant de la ruche-école.

Opter pour l’abeille noire

Se lancer dans l’apiculture est un grand pas vers la sauvegarde des abeilles, vous soutenez ainsi l’effort des autres apiculteurs. Cependant, il y a des apiculteurs qui participent indirectement à l’extinction de ces insectes en faisant importer certaines espèces, ce qui favorise le métissage des souches ancestrales. Donc, vous qui débutez dans ce métier, choisissez d’élever l’abeille noire afin de préserver le patrimoine endémique de notre pays.

Les techniques d’élevage d’abeilles

Avant tout il est important de préciser qu’élever des abeilles dans le but d’en obtenir quelques colonies est différent de celui d’en faire son métier puisque pour ce dernier, il s’agit de réaliser une exploitation apicole. Pour élever des abeilles, il faut avoir une certaine sagesse et de la patience, car c’est une matière délicate qui ne se prend pas à la légère. La technique la plus efficace est la méthode de division, car elle permet d’obtenir des colonies plus stables et vous respectez ainsi la biologie des abeilles. Si vous maîtrisez cette méthode, votre avenir dans ce métier sera bien assuré puisque vous allez bien vous développer.

Développer son talent de commercial

Développer son talent de commercial

Être commercial, c’est exercer un métier difficile et un métier assez ingrat. Pourtant, il est possible de cartonner si vous vous investissez à fond.

La polyvalence, un atout important

L’une des choses les plus importantes lorsqu’on est commercial, c’est d’être polyvalent. En effet, le secteur du commerce bouge beaucoup et les commerciaux sont très nombreux. Il sera donc nécessaire de se faire sa place sur le marché et de la défendre bec et ongles. Vous devez alors être capable de vendre des contrats d’assurance aujourd’hui, comme vous pourrez cartonner au rayon parfumerie d’un grand magasin demain.

Être commercial professionnel, c’est pouvoir vendre n’importe quoi à n’importe qui, car c’est votre job. Vous devrez donc laisser de côté les préjugés du type « c’est pas un produit qui me correspond » car c’est au commercial de s’adapter au produit et de se conformer à la demande.

L’expérience rend insubmersible

Sur le marché, il y a les commerciaux, et les commerciaux qui ont de l’expérience. La différence entre les deux est importante. Avec de l’expérience, le commercial sait identifier instantanément comment approcher un client ou un prospect pour lui vendre un produit ou un service. Il saura également lorsqu’il est temps de mettre un terme à la conversation pour la continuer lors d’un autre rendez-vous ou s’il peut mathématiquement faire des ventes immédiatement.

commercial

L’expérience compte beaucoup dans ce métier, car il apprend à développer un certain instinct. Le commercial expérimenté saura alors tout mettre en œuvre pour arriver à ses fins. Le commercial expérimenté ne craint pas l’échec, il l’adore. Pourquoi ? Tout simplement parce que cet échec va lui permettre de devenir meilleur. D’ailleurs, les grandes sociétés ne font confiance qu’aux commerciaux expérimentés aujourd’hui. Même si vous commencez au bas de l’échelle, persévérez et continuez à vous battre, car c’est cette lutte qui vous rend meilleur.

Être l’ami des clients

Être commercial, ce n’est pas simplement lécher les bottes des clients. En effet, il est tout à fait possible de vouloir vraiment aider les clients et leur proposer ce qu’il y a de meilleur pour eux… Généralement, les commerciaux qui arrivent à convaincre facilement leurs interlocuteurs sont ceux qui sont convaincus eux-mêmes de leur discours et du produit ou du service qu’ils vendent. D’ailleurs, il est très important d’aimer son métier de commercial…

En effet, la différence est très importante entre une personne qui veut vraiment mettre en avant les atouts du produit et une autre qui le fait parce qu’il a des objectifs à atteindre. Faites en sorte de donner satisfaction à vos clients, donnez-leur l’envie de revenir et vous verrez que vous serez toujours bien vu dans le milieu.

Soyez ambitieux, et dépassez-vous

Si vous souhaitez connaître le succès et développer entièrement votre talent de commercial, il est impératif que vous aimiez le défi. En effet, il est très important de vouloir se surpasser à tout moment, et se fixer de nouveaux objectifs chaque jour. Si vous vous comparez aux autres, sachez que vous pourriez ne pas avancer… Alors que si vous vous comparez à vous-même et que vous pensez à surpasser vos résultats d’hier, vous pourrez vous bâtir une carrière importante en tant que commercial.

commercial ambitieux

D’ailleurs, cela a également une répercussion directe sur votre salaire : lorsque vous prouvez que vous pouvez toujours vous surpasser, votre employeur remarquera votre motivation débordante et vous récompensera en conséquence. Il ne sera alors pas étonnant que vous vous voyiez octroyer une prime sur vos objectifs, et que vous obteniez une promotion importante au fur et à mesure de vos réalisations.

Comment gérer un organisme de formation ?

Comment gérer un organisme de formation ?

Pour disposer des formations de qualités, il est nécessaire d’avoir une bonne gestion de son entité. Comment gérer un organisme de formation ? La réponse à cette question se trouve dans les prochains paragraphes.

Se déclarer auprès des organismes compétents

La première chose à faire pour gérer un organisme de formation est de se déclarer auprès des organismes compétents. Il s’agit d’une déclaration d’activité vous permettant de mettre vos prestations de formation à la disposition du grand public. Par ailleurs, des conditions sont nécessaires pour obtenir le droit de dispenser de formations professionnelles selon les lois du travail.

Effectivement, il est important d’obtenir un certificat attestant des compétences que l’on a à fournir des formations de qualités. La raison est simple, il est primordial de prouver qu’un organisme de formation dispose bien des compétences nécessaires pour transmettre son savoir à d’autres aspirants. C’est pour cette raison que cette gestion doit passer par votre certification.

Comme dans tout travail, il est important de disposer d’un statut juridique correspondant aux activités que l’on exerce. Il s’agit d’un autre aspect primordial de la gestion d’un organisme de formation pour être en règle vis-à-vis des autorités. Pour ce faire, vous avez entre autres le choix entre devenir : travailleur indépendant, entreprise individuelle ou encore auto entrepreneur.

Se munir des outils adéquats

Pour optimiser la gestion d’un organisme de formation, il est nécessaire de disposer des outils correspondant à la nature de nos activités. Parmi ceux-ci, un logiciel de gestion de formation figure parmi les plus importants afin de faciliter l’apprentissage des nouveaux aspirants. Il s’agit d’un outil généralement sur mesure conçue pour automatiser au maximum le processus de formation.

Avoir un logiciel sur mesure pour gérer la formation permet de regrouper toutes les informations nécessaires en un seul endroit. Cela permet donc aux aspirants de retrouver facilement les modules et les bases de connaissances dont ils ont besoin. De ce fait, l’apprentissage se fait plus rapidement et le personnel formé peut être déployé rapidement pour démarrer la production.

En outre, posséder ce genre d’outil favorise les économies. Premièrement, un logiciel de formation permet de ne disposer que d’un seul outil pour gérer toutes les formations proposées. Ensuite, il permet également de limiter le temps passé à former le personnel pour leur permettre de rejoindre rapidement le travail et donc de rapporter de la valeur à l’entreprise. Enfin, les coûts du développement de cet outil sont généralement moins élevés que d’en avoir plusieurs à la fois.

Faire une veille constante sur les nouvelles pratiques

Peu importe le domaine, il est important de faire une veille constante sur les nouvelles pratiques. La raison est que les évolutions ne s’arrêtent jamais et il est important de proposer ces nouvelles connaissances aux personnes que l’on forme.

C’est pour cette raison que vous devez vous constamment à jour sur vos connaissances. Cela veut dire que pour former les autres à partir d’un organisme de formation, vous devez faire en sorte que celui-ci dispense des informations à jour et de qualité.

Comment réagir aux remarques sexistes au travail ?

Remarques sexistes au travail

Longtemps, et encore aujourd’hui, il y a toujours des remarques sexistes dont sont souvent victimes les femmes. Des machistes, voire des misogynes, arrivent toujours à mettre leur grain de sel aux bureaux. Ces propos indisposent, offensent même la gent féminine qui, parfois, a du mal à s’intégrer dans ce monde masculin. Pour en faire face, comment doit-on réagir ?

Des remarques sexistes, comment les repérer ?

Il y a des mots qui sont typiques des machos dans les lieux de travail. Des moins intenses aux plus vexants, les entendre tous les jours pourraient incommoder jusqu’à en venir à la motivation. De simples propos qui connotent peut-être une familiarité déplacée, mais qui peuvent se traduire en langages ambivalents. « C’est la forme aujourd’hui ma jolie ? » pourrait être un compliment, mais évoquerait également une certaine domination.

Dire devant les collègues féminins « ce mec est une vraie femmelette » ou « il est plus lent et plus bête qu’une femme » est considéré comme émettre un propos discriminatoire, voire diffamant. Et entendre un homme sortir un « t’as tes règles pour être si nonchalante et si balourde » frôle l’humiliation.

Gérez vos collègues… « lourds »

Quand de tels propos sortent de la bouche de vos collègues, il faut savoir réagir. Y faire face est la meilleure des attitudes et il serait mieux de réagir avec fermeté et rétorquer avec des mots pertinents tout en restant polie. Il y a également ce genre d’humour qui arrive à atteindre les…méchants. Répondre avec un ton railleur permet de décourager les machistes.

Avec une grande capacité de retenue, certaines arrivent à jouer les naïves et à leur demander de répéter les propos. Une tactique qui marche à tous les coups pour ridiculiser le mauvais blagueur. Avec un certain courage, vous pourrez dire « je ne suis pas disposée à discuter sur un sujet aussi futile » et arriverez à clore la conversation. Vous pourrez aussi nommer le comportement, ce qui va servir à ces machos de leçon et à les faire taire.

De l’aide et des sanctions

Être victime de remarques sexistes influe sûrement sur votre moral. Si c’est le cas, et si vous n’avez pas le courage de les affronter, demandez de l’aide. Vous pourrez alors envoyer des mails à l’harceleur avec des « mots justes », une lettre qui va servir de preuve si la situation s’envenime. Aviser votre supérieur ou demander de l’aide auprès des responsables des RH vous permettra également de dénoncer les auteurs du sexisme et de les sanctionner par la suite.

Sachez que la loi Rebsamen du 17 août 2015 stipule que « nul ne doit subir d’agissement sexiste, défini comme tout agissement lié au sexe d’une personne, ayant pour objet ou pour effet de porter atteinte à sa dignité ou de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant ». Et il appartient à l’employeur d’instaurer une ambiance saine au sein de son entreprise. Notez que l’auteur de sexisme est passible de 3 à 10 ans d’emprisonnement et d’une amende entre 45 000 et 75 000 euros.

Les logiciels indispensables quand on est indépendant

Logiciels pour indépendant

Aujourd’hui, être indépendant nécessite l’intervention ainsi que l’aide des logiciels en ligne. Cependant, pour être beaucoup plus productif et beaucoup plus organiser avec ses clients, il est plus que nécessaire d’utiliser des logiciels. Grâce à l’évolution technologique, on arrive aujourd’hui à éliminer les anciennes techniques et méthodes de travail. Il est même parfois possible d’avoir une opportunité de travail avec ses avancés technologique.

Les logiciels de gestions de mail

Quel que soit le type de courrier mail que vous utilisez ; Gmail, Hotmail, Yahoo ou bien d’autres boites ; il est dans votre intérêt d’utiliser un logiciel de gestionnaire de mail. Beaucoup de Freelancer en portage salarial à Paris utilisent cette technique afin de mieux lier toutes vos tâches professionnelles. Pour ce faire vous avez le choix entre l’utilisation d’un logiciel entreprise et d’un logiciel communautaire. Le premier est une offre spéciale pour une entreprise, tandis que l’autre est plus destiné aux particuliers ainsi que d’autres freelances.

Dans la version entreprise, on vous suggère Microsoft Outlook qui est très populaire et très utilitaire au sein d’une société. Vous pouvez quand même choisir Mozilla Thunderbird qui est un logiciel efficace pour ceux qui veulent s’initier à la gestion des mails et des agendas. Si vous voulez obtenir un maximum de satisfaction, Google vous propose également ces produits grâce à l’utilisation de l’agenda de son Gmail. Il vous suffit d’ouvrir un compte gratuit Gmail et vous bénéficiez des différentes fonctionnalités qu’apporte le logiciel.

Les logiciels de gestion de tâches

Avant d’entamer son travail, il est conseillé de bien s’organiser et de bien organiser ses tâches. Pour cela, l’utilisation de logiciel de gestionnaire de tâches est plus qu’indispensable. Vous pouvez opter pour la méthode du papier et du crayon comme auparavant, cependant avec les nouvelles technologies, vous pouvez toutefois utiliser Evernote afin de mieux citer et d’arranger toutes vos tâches. Avec ce logiciel libre et gratuit, vous bénéficiez d’un service rapide et efficace. En plus de cela, Evernote est très intuitif, vous pouvez le lier facilement avec votre compte mail et vous aurez également l’occasion de partager vos notes avec les clients pour que vous soyez bien en phase.

Une fois que vos tâches seront bien établies, vous pouvez maintenant passer à une autre étape plus cruciale. Cette méthode est très efficace et très précise, vous pouvez apercevoir l’évolution de vos travaux. Le logiciel correspondant pour ce genre de situation est le tableau de trello. Il est devenu très populaire ces dernières années et beaucoup de gens l’utilisent qu’il soit particulier ou salarié. En plus d’être très intuitif, trello est également gratuit.

Les logiciels de stockage en ligne

Vous aurez également besoin de stocker vos travaux afin de mieux rechercher après. Il est possible que votre machine de bureau vous abandonne un certain temps et toutes vos données seront perdues avec. Pour cela, la meilleure solution est l’utilisation des stockages en ligne ou le Cloud. Il existe de nombreuses solutions de stockage comme le One Drive pour les abonnées d’Outlook et Hotmail. Cependant, c’est Google encore qui offre la meilleure offre pour ces adhérents en leur proposant Google Drive.

L’avantage de Google Drive c’est que le logiciel vous permet de stocker des données jusqu’à 15 go de données. De plus vous pouvez partager assez facilement ces données avec vos collègues ou bien vos amis. Il existe aussi une autre alternative qui est Dropbox que vous pouvez utiliser afin de livrer les tâches effectuées.

Comment faire une candidature qui fait la différence ?

Candidature

En quête d’un poste dans une entreprise, vous voulez que votre candidature soit remarquée. En effet, il ne suffit pas de la soumettre, il faut convaincre le recruteur de vous engager. Et vous avez le devoir de faire de votre mieux, avec vos arguments dans la lettre de motivation et de vos compétences dans le CV, pour que vous soyez parmi ceux qui passeront à l’entretien. Cette étape doit également être concluante.

La candidature pour un poste, bien se préparer

Chercher un emploi, ça se prépare ! Un poste est destiné à celui qui sera compétent pour le tenir. Pour commencer, vous devez être « honnête » sur ce que vous valez : est-ce une mission qui est appropriée à vos compétences ? Est-ce une place qui sera faite pour vous ? Une fois que vous avez les réponses, préparez alors vos stratégies. Renseignez-vous sur l’entreprise en question, faites des investigations sur son site.

Il est maintenant temps de passer aux choses sérieuses. Quand vous êtes convoqué pour un entretien, il faut savoir vous présenter. Soyez pertinent sur vos parcours, affichez une certaine « confiance en soi » tout en restant humble. Vous pourrez mettre la chance de votre côté si vous prenez des notes, et n’hésitez pas de poser des questions. Avoir sur vous un élément qui correspond au poste est une bonne stratégie comme le mannequin qui apporte son book. Et surtout, ne soyez pas stressé !

De bonnes astuces pour mieux réussir

La quête d’un poste commence par la soumission d’un CV. Sachez alors qu’il serait mieux d’envoyer le document directement sur l’adresse mail du recruteur que sur son site. Vos compétences sur le CV doivent commencer par les plus récentes. Il faut aussi finir avec les lettres de motivation classiques. Les recruteurs veulent du « consistant » et de l’original avec un mail dont le contenu est plutôt spontané.

Quand vous rédigez votre lettre de motivation ou quand vous êtes devant le recruteur lors de l’entretien, adoptez toujours des phrases positives. Sachez toutefois que vous devez rester honnête, un « non » pour une question suscite l’admiration du recruteur qu’un « oui » systématique à toutes les questions.

Les meilleures phrases pour l’entretien

Quand votre candidature aboutit à un entretien, il faut savoir s’y préparer. Certes, vos réponses dépendent des questions que le recruteur posera, mais il y a des phrases que vous devez avoir sur vos lèvres. Il y a alors la phrase d’un responsable qui prend en main son avenir : « j’ai passé quelques mois dans un pays anglophone afin d’améliorer mon anglais ». Il y a également celle de l’ « engagé » avec sa phrase : « j’admire votre entreprise, son organisation et ses compétences, ce sont celles que je cherche pour m’épanouir ».

La phrase d’un « apprenti sans complexe » enchante également le recruteur : « ce n’est pas le premier entretien que j’ai eu, mais à chaque fois, que je sois pris ou non pour le poste, j’écoute attentivement ce que disent les recruteurs et je le retiens ! ». Et enfin la phrase d’un candidat prêt: « je souhaite tracer une carrière en même temps que votre entreprise évolue ! » Ce ne sont que des exemples, vous pourrez toujours improviser mais tout en restant honnête !

Comment préparer son congé maternité ?

Préparer son congé maternité

Dès que vous vous savez enceinte, il y a mille et une choses que vous devez préparer, parmi lesquelles votre congé maternité. Certes, certaines appréhendent d’annoncer à leur employeur leur grossesse, mais c’est une étape qui n’inclut pas seulement l’honnêteté, mais aviser votre patron est impératif. Avant de partir et revenir dans les meilleures conditions, voici quelques conseils.

Pour que votre congé maternité se passe bien

Il y a toujours cette appréhension de devoir annoncer à votre employé que vous attendez un enfant. Pourtant, cela va plutôt bien se passer si vous le préparez. Le mieux est de ne pas adopter le principe de l’autruche, n’attendez pas que c’est votre patron qui s’en aperçoive en premier. Il est conseillé et bien plus poli de l’annoncer à vive voix, mais vous devez également envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception pour respecter le côté juridique. Sachez que vous bénéficierez d’une protection légale qui vous préserve d’un licenciement abusif, sauf si l’on constate une faute professionnelle grave.

Vous pourrez soumettre une date pour votre congé maternité, mais elle sera validée par votre manager ou par le responsable des RH. Il est important de discuter des formalités et des dispositions à prendre : votre remplacement pendant cette durée, un éventuel déménagement de votre bureau ou autres. Notez que votre employeur n’aura pas le droit d’engager un remplaçant pour un CDI, d’autant plus que vous avez le droit de demander auprès de votre responsable des RH une fiche de poste avant le congé.

Ça y est, la date est fixée ! Vous avez maintenant le devoir de discuter avec vos collègues sur les affaires en cours et commencez à faire certaines passations de dossiers. Vous devez aussi prévenir vos clients en les dirigeants vers votre remplaçant. Si ce dernier est déjà présent, accordez-lui quelques formations, établissez une check-list des choses déjà finalisées, des tâches en cours et des missions encore à faire. Vous pourrez solliciter d’être informée de l’avancée de chaque dossier pendant votre absence.

Quelques règlements à savoir

Certes, il n’y a pas de meilleur délai pour annoncer votre grossesse, mais ce serait mieux si vous l’annoncez quand vous entamez votre troisième mois de grossesse. Sachez que vous aurez droit à 16 semaines de congé pour votre premier enfant. Essentiellement, vous pourrez cesser de travailler 6 semaines avant l’accouchement et 10 semaines après, mais vous pourrez négocier ces durées selon l’avis du médecin après avoir fait les démarches pour l’Assurance Maladie.

Généralement, quand vous cesserez vos activités professionnelles au sein d’une entreprise, vous ne percevez plus de salaire. Mais vous pourrez toujours bénéficier d’indemnités journalières versées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie selon votre ancienneté dans l’entreprise. Il se pourrait également que votre entreprise propose des conditions favorables qui pourraient maintenir votre salaire intégral ou en partie pendant votre absence.

Un « retour » réussi !

Pour que votre congé maternité se passe bien, vous devez aussi préparer « l’après ». Ces 16 semaines passeront assez vite, se préparer pour le retour au bureau peut se faire en établissant une liste de vos priorités. Ne vous culpabilisez pas si vous devez reprendre votre travail. Réorganisez-vous et faites-le à votre rythme. Le mieux est de le faire en amont, sans vous précipiter et encore moins en brûlant les étapes.

D’une mère au foyer, vous devez reprendre votre ancienne vie en conciliant vie de famille et vie professionnelle. Reprenez d’abord confiance en vous. Il y a maintenant le fameux « Bullet journal » ou Bujo, vous pourrez déjà improviser vos emplois du temps, sans vous soumettre au stress et pour mieux vous organiser. Mais en attendant ce moment, profitez de votre bébé !